Le Tribunal de Justice du Parà a confirmé la condamnation pour crime de torture de deux policiers civils.
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Le Tribunal de Justice du Parà a confirmé la condamnation pour crime de torture de deux policiers civils.
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Les autorités de Sao Paulo enquêtent sur des dénonciations d’exécutions sommaires de suspects par la police pendant la vague de violences déclenchée par le crime organisé la semaine dernière. Le médiateur de la police de l’État de São paulo, Antonio Funari Filho, a communiqué aux inspecteurs chargés d’enquêter sur ses propres agents des dizaines de cas de morts par armes à feu qu’il soupçonne avoir été commis par des policiers. Il a sollicité l’ouverture d’enquêtes. Parmi les 12 exécutions sommaires dénoncées par des proches des victimes, trois jeunes auraient été assassinés à quelques mètres de chez eux par des hommes vêtus de noir et encagoulés qui sont descendus d’une voiture, et cinq autres jeunes auraient été abattus de plusieurs balles dans la tête par des personnes encagoulées alors qu’ils bavardaient au coin d’une rue.
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Le gouverneur de l’Etat Sao Paulo, Claudio Lembo, a reconnu qu’il y a pu y avoir des abus de la part de la police lors de la répression la semaine passée. Selon la Folha de Sao Paulo, l’institut médico-légal de Sao Paulo a vu arriver 272 corps criblés de balles au cours des cinq premiers jours d’émeutes. Selon le bilan publié par le secrétariat à la Sécurité, la vague de violences s’est soldée par 172 morts : 109 délinquants présumés, 33 policiers, 18 détenus, 8 gardiens de prison et 4 civils.
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En quatre ans de prison, la dictature m’a contraint à en vivre deux parmi les prisonniers de droit commun. Trente-cinq ans après, le système carcéral n’est plus le même... parce qu’il a empiré. Par Frei Betto.
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Le défi que le crime organisé a lancé au gouvernement de l’État de São Paulo est le résultat de la défaite d’une politique de sécurité publique basée uniquement sur la répression brutale. Par Plínio de Arruda Sampaio.
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Si la répression policière était la solution, il n’y aurait plus aucun problème, puisque cela fait 500 ans qu’on réprime les pauvres dans ce pays. Par João Pedro Stedile.
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Les habitants les plus pauvres qui se massent aux abords des métropoles comme Rio, Calcutta, Mexico ou Dakar vivent dans une violence souvent meurtrière. Au lieu de regarder cette violence de l’extérieur, du haut de nos tours d’ivoire, et d’accuser les plus pauvres, le sociologue Yves Pedrazzini l’a observée de l’intérieur. Entretien audio.
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Selon le dernier rapport annuel de la Commission Pastorale de la terre (CPT), le nombre des morts découlant des conflits de la terre a augmenté de 106% en 2005 : 64 personnes ont été tuées, alors qu’en 2004 il y avait eu 31 morts.
Le nombre de conflits enregistrés en 2005 (1 881) est le plus élevé depuis 21 ans. Ces chiffres sont significativement plus élevés dans les Etats où l’agro-négoce s’installe et se diffuse, c’est-à-dire les régions du Centre-Ouest et du Nord.
« Malheur à vous qui multipliez vos maisons et augmentez vos champs jusqu’à
ce qu’il ne reste plus aucun espace et que vous occuppiez tout le pays.... »
C’est dans cette guerre déclarée aux pauvres qu’a eu lieu l’expulsion de la grande ferme Rio Vermelho, dans la commune de Sapucaia,
au sud du Pará.
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