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Manaus (AM) - Mécontents et effrayés par une nouvelle ruée vers l’or dans la rivière Madeira, (…)

Participez à la soirée/projections - Féminisme décolonial et résistance autochtone - WARRIOR WOMEN.

Mercredi 3 novembre de 18h à 20h La Sorbonne, amphithéâtre Descartes 17 rue de la Sorbonne, (…)

A l’invitation de Survival International, Davi et Dario seront à une conférence publique à La Sorbonne sur le thème « Peuples autochtones et environnement ».

L’Amazonie joue un rôle clé dans la santé environnementale mondiale. Pourtant, tout comme la région du Cerrado, elle fait l’objet d’une déforestation et d’une surexploitation sans précédent. Les entreprises et banques européennes sont pointées du doigts dans ce processus alarmant qui fait peser des risques considérables sur la planète.

L’assèchement des lacs et des rivières au Brésil, et plus particulièrement dans le Pantanal et dans l’état du Mato Grosso do Sul alarme les associations.

Depuis l’arrivée au pouvoir du président d’extrême-droite Jair Bolsonaro, les peuples autochtones au Brésil font face à de nombreuses attaques. Malgré une volonté du gouvernement de les affaiblir toujours un peu plus, les résistances s’organisent avec force et détermination, donnant lieu à des mobilisations historiques !

Glauber Sezerino, co-président d’Autres Brésils a participé à la deuxième partie de l’émission « Magazine du week-end » (14/08/2021) sur France Culture pour parler de la situation des peuples autochtones dans le Brésil du président d’extrême-droite Jair Bolsonaro.

La forêt amazonienne est considérée depuis toujours comme un « poumon » indispensable à la vie sur terre. Mais aujourd’hui, la déforestation et la dégradation des espaces verts au Brésil, encouragées par le président brésilien d’extrême-droite Jair Bolsonaro, mettent en péril le rôle majeur de cette forêt dans le stockage du CO2.

Il y a deux ans au Brésil, le barrage minier de Brumadinho s’est effondré. Depuis les populations aux alentours en subissent les conséquences environnementales, sanitaires et économiques. L’entreprise responsable de cette catastrophe offre aujourd’hui 5,5 milliards d’euro de dédommagement, mais des questions restent en suspens.