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Autres Brésils lance un appel à don pour l’achat et la distribution de paniers alimentaires produits par le Mouvement des Sans Terre pour les membres du mouvement des « Mères de Mai ».

Au Brésil, les peuples autochtones des régions urbaines s’organisent dans la lutte contre la pandémie

La ville de Rio de Janeiro fait face à un démantèlement de son système d’approvisionnement d’eau annonçant un processus de privatisation.

Au Brésil, face à l’inaction du gouvernement, la communauté de la favela de l’Alemão à Rio de Janeiro s’organise pour venir au secours des plus démunis pendant la pandémie et participe au recueil de témoignages journalistiques.

José Graziano da Silva, ancien directeur général de la FAO, alerte dans cet entretien sur le recrudescence de la faim au Brésil et les conséquences sur sa population.

Covid-19 au Brésil : la barre des 100.000 victimes du gouvernement Bolsonaro est dépassée.

L’idée que le président brésilien pourrait être responsable d’un crime contre l’humanité fait son chemin à La Haye mais aussi au Brésil où le juge Gilmar Mendes, du Tribunal suprême fédéral (STF), parle de « génocide » vis`à vis de la gestion du Covid-19.

Lucas Morais da Trindade s’est vu refuser trois demandes d’habeas corpus par le Tribunal de Justice de l’Etat du Minas Gerais (TJMG). Il décède du Coronavirus alors qu’il était détenu à la prison de Manhumirim.

Amazonia Real retrace l’histoire de la disparition d’enfants autochtones Yanomami. Morts des suites fatales de contamination au Covid-19 et volés à leur mères dans des hôpitaux. Les corps ont été retrouvés. Ce n’est pas un cas isolé.

En Amazonie, les peuples Yanomami sont traités avec indignité. Et « Voler les morts des autres est le stade suprême de la barbarie. » nous disait l’anthropologue Bruce Albert. Un texte de Eliane Brum qui nous appelle à témoin : « témoins d’un génocide. Nous avons la responsabilité collective de l’arrêter. »