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Les mouvements sociaux font face à l’expulsion des sans terre, à la violence policière et à la mort des défenseurs des droits humains.

Des cas de torture en prison. Au Brésil, l’Etat de Goiás a décidé d’ouvrir une enquête sur des actes de torture infligés à des prisonniers.

L’année dernière, 66 défenseur·e·s des droits humains ont été assassinés au Brésil et cette année, 37 cas ont déjà été signalés.

Le Brésil se targue d’une Constitution Citoyenne qui met à l’honneur les droits humains et la protection de l’environnement. Pourtant en ces quelques trente ans, elle a subi toutes sortes d’entorses. Etat des lieux.

Marcia de Oliveira Silva Jacintho a perdu son fils de 16 ans assassiné en 2002 par des policiers de Rio de Janeiro. Accompagnée par la Fase, une organisation partenaire du CCFD-Terre Solidaire, elle s’est battue pour obtenir justice.

Dans la perspective d’élections anticipées, et dans un contexte de violence politique croissante, Basta ! propose un tour d’horizon des nouvelles droites au Brésil.

La Norvège a annoncé qu’elle réduirait de moitié sa contribution au Fonds Amazonie, dédié à la protection du biome, à la régularisation foncière ainsi qu’à la gestion des terres indigènes. Cette coupe budgétaire met en danger tout l’écosystème amazonien.

Avec 10 exécutions dans l’Etat du Pará, le Brésil compte 25 morts dans des massacres à la campagne en 40 jours

Plus de 150 000 personnes sont descendues dans les rues de Brasilia pour faire entendre leur rejet des mesures d’austérité proposées par le gouvernement et pour exiger la démission du président Michel Temer.Au moins 49 personnes ont été blessées.

L’armée et la police répriment à Brasilia avec gaz lacrymogènes, balles en caoutchouc et balles réelles – le 24 mai 2017 –, faisant plusieurs blessés graves parmi les quelque cent mille travailleurs et travailleuses mobilisés·e·s pour exiger la destitution de Michel Temer.