Si la répression policière était la solution, il n’y aurait plus aucun problème, puisque cela fait 500 ans qu’on réprime les pauvres dans ce pays. Par João Pedro Stedile.
Lire l'articleBarbarie sociale : capitale São Paulo
Si la répression policière était la solution, il n’y aurait plus aucun problème, puisque cela fait 500 ans qu’on réprime les pauvres dans ce pays. Par João Pedro Stedile.
Lire l'article
Les habitants les plus pauvres qui se massent aux abords des métropoles comme Rio, Calcutta, Mexico ou Dakar vivent dans une violence souvent meurtrière. Au lieu de regarder cette violence de l’extérieur, du haut de nos tours d’ivoire, et d’accuser les plus pauvres, le sociologue Yves Pedrazzini l’a observée de l’intérieur. Entretien audio.
Lire l'article
Selon le dernier rapport annuel de la Commission Pastorale de la terre (CPT), le nombre des morts découlant des conflits de la terre a augmenté de 106% en 2005 : 64 personnes ont été tuées, alors qu’en 2004 il y avait eu 31 morts.
Le nombre de conflits enregistrés en 2005 (1 881) est le plus élevé depuis 21 ans. Ces chiffres sont significativement plus élevés dans les Etats où l’agro-négoce s’installe et se diffuse, c’est-à-dire les régions du Centre-Ouest et du Nord.
« Malheur à vous qui multipliez vos maisons et augmentez vos champs jusqu’à
ce qu’il ne reste plus aucun espace et que vous occuppiez tout le pays.... »
C’est dans cette guerre déclarée aux pauvres qu’a eu lieu l’expulsion de la grande ferme Rio Vermelho, dans la commune de Sapucaia,
au sud du Pará.
Le 20 janvier 2006, avec l’appui logistique de la société Aracruz Celulose, 120 agents de la police fédérale faisaient une intervention « musclée » dans deux villages des peuples tupiniquim et guaraní dans la municipalité d’Aracruz.
Lire l'article
Alors que le Brésil célèbre la journée de l’Indien le 19 avril, les Guarani, menacés d’être expulsés de leur territoire, prédisent un bain de sang. Les Indiens sont sur le point d’être repoussés vers la route où ils ont vécu dans des conditions misérables jusqu’en 2004.
Lire l'article
Un meurtre de plus sur São Paulo, mais la victime n’est pas n’importe qui. Ubiratan Guimarães était certes un politicien local en campagne pour sa réélection de député de São Paulo, mais ce n’est pas comme homme politique qu’il laissera son nom. A la tête du bataillon de choc de la Police Militaire, il fut en effet responsable du plus grand massacre de détenus dans une prison brésilienne. QUOIDENEUFBRASIL
Lire l'article
Des dizaines de milliers de paysans sans terre manifestaient lundi dans tout le Brésil, dix ans après le massacre de 19 d’entre eux à Eldorado dos Carajas, pour protester contre l’impunité dont jouissent les tueurs, tous des policiers.
Lire l'article
Le mois d’août a marqué une nouvelle étape dans la véritable guerre que mène le PCC (Premier Commandement de la Capitale, principale organisation criminelle de l’Etat de São Paulo) contre le pouvoir exécutif de cet Etat. Une 3ème vague d’attaques et d’attentats contre des édifices publics, des moyens de transport, etc., s’y est en effet déroulée après les deux précédentes de mai et juillet. QUOIDENEUFBRASIL
Lire l'articleAbonnez-vous à la Newletter d’Autres Brésils
>
Entrez votre adresse mail ci-dessous pour vous abonner à notre lettre d’information.
Vous-pouvez vous désinscrire à tout moment envoyant un email à l’adresse suivante : sympa@listes.autresbresils.net, en précisant en sujet : unsubscribe infolettre.
>>> Autres Brésils vous remercie chaleureusement !
Abonnez-vous au flux RSS