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Le 26 juin 2011, José Graziano da Silva, ancien ministre du gouvernement Lula et promoteur du programme « Faim zéro » au Brésil, est devenu le nouveau directeur général de l’ONU pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Mémoire des luttes

En mai dernier, le Brésil a été le théâtre d’atrocités dirigées contre des militantes et militants de plusieurs mouvements de défense des droits sociaux et environnementaux.

Alors qu’en vingt ans, l’agrobusiness battait des records de production et d’exportations, 5 millions de Brésiliens fuyaient la campagne. Aujourd’hui, un quart de la population rurale vit dans l’extrême pauvreté.

Le gouvernement de Dilma Rousseff prévoit de reprendre les expropriations de terres pour appliquer la réforme agraire à partir de juin ou juillet, grâce à la mise à disposition d’un demi-milliard de reais.

L’objectif de cet article est d’analyser la dynamique interne d’un assentamento du Mouvement des Sans Terre, et sa coopérative collective, la COPAVI, dans le sud du Brésil. Alterinfos

Mercredi 9 juin 2011, deux prêtres et 17 quilombolas ont fait une grève de la faim dans le Maranhão pour exiger le respect et la protection de l’État, dénonçant le fait que 58 personnes vivent sous une menace de mort. Reentrâncias

Publication d’une série d’articles, de billets cartographiques et de reportages photographiques sur cet immense pays, depuis peu huitième économie mondiale. Les blogs du Diplo

A l’heure où, comme aujourd’hui, une crise s’abat sur les classes les
plus défavorisées, incapables d’offrir une réponse solide pour stopper
l’agression contre les droits sociaux et du travail, parler d’un
mouvement social comme le MST est comme une bouffée d’air frais : son exemple d’organisation, de lutte et d’éducation peut servir de source
d’inspiration. El viejo topo

« Mentir, c’est encore ce que l’entreprise Stora Enso sait faire de mieux », déclare l’économiste João Pedro Stédile, figure de proue du Mouvement Sans Terre (MST) dont il est l’un des fondateurs.

Joao Pedro Stédile, dirigeant de la coordination nationale du Mouvement des Sans Terre (MST) du Brésil et de Via Campesina, parle de l’élection de Dilma Rousseff. La revolucion vive