« Celui qui assume le rôle de juge aujourd’hui doit [savoir] que demain il peut être jugé ». En dépit de ces menaces, d’ultimes recours de la dernière chance et de prières, Eduardo Cunha, ex-président de la Chambre des députés suspendu depuis mai, accusé de corruption et de blanchiment d’argent a été mis à mort politiquement, lundi 12 septembre peu avant minuit, par ses homologues aux cris de « Fora Cunha » (Dégage Cunha).
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