Par Elaine Tavares
Source : Adital - 22 février 2008
Traduction : Roger Guilloux pour Autres Brésils
La commission de professeurs qui les accueillait un par un, ne cachait pas sa joie et sa fierté de voir le résultat concret d’une lutte qui avait duré des années. On y voyait des sourires, des poignées de mains fermes et même des embrassades. Dans cet auditorium, déambulaient d’autres couleurs, des cheveux aux mille tresses ou des dreadlocks, des colliers aux motifs ethniques, des rires. C’était des Noirs, des centaines et pas la demi-douzaine – venue d’Afrique en général - que la communauté universitaire a l’habitude de rencontrer sur le campus.
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