Exploitation minière dans la caatinga : le cauchemar des communautés rurales

 | Par Agence Carta Maior, Najar Tubino

La vérité est simple et sans détour : les entreprises d’exploitation minière et leurs prestataires agissent de manière dictatoriale à l’intérieur du pays.

Traduction pour Autres Brésils : Anne-Laure BONVALOT
Relecture : Mara DERSIGNY

Raimundo Dias da Silva Santos vit à Campo Alegre de Lourdes, à 799 km de Salvador de Bahia, au cœur de la région semi-aride de l’État de Bahia au Brésil, où l’IBGE [1] enregistre le plus grand nombre d’établissements d’agriculture familiale du Brésil – soit 665 680 exploitations. Le cas de M. Raimundo Dias est emblématique des changements qui surviennent ces dernières années dans les régions semi-arides à cause des politiques publiques mises en place par le gouvernement fédéral et appliquées par l’ASA [2]. Sa famille subsiste grâce à une citerne permettant de récolter l’eau de pluie, ainsi qu’à une citerne de production dévolue à l’élevage d’animaux – de chèvres principalement. Il reçoit l’assistance technique de l’Institut Régional de la Petite Agriculture Adaptée (IRPAA) [3] , présente dans la région semi-aride de l’État de Bahia depuis vingt-cinq ans. Établi depuis quarante ans à Campo Alegre de Lourdes, il considère la caatinga  [4] comme un lieu où il fait bon habiter, pour un peu que l’on sache vivre en communauté.

Pourtant, ces dernières années, des investissements colossaux en série perturbent la vie dans la région semi-aride. On pourrait penser qu’il y a là une contradiction historique : une terre qui exige tant de sacrifices pour nourrir les familles d’agriculteurs et de paysans s’avère particulièrement riche en minerais. L’État de Bahia cherche à se hisser au rang de troisième pôle d’exploitation minière du Brésil, et fait déjà l’objet d’investissements équivalents à plus de cinq milliards de réaux. À Campo Alegre de Lourdes, le Groupe Galvani exploite le phosphate, qui, parce qu’il contient du phosphore, est l’un des principaux composants des fertilisants chimiques. Le groupe possède une usine à Luis Eduardo Magalhães, terre de soja, de coton et de maïs de l’agro-négoce. Les mines se trouvent à l’endroit précis où sont établies les communautés rurales, comme celle de M. Raimundo Dias, la Lagoa do Boi. Dans la région semi-aride, il tombe au maximum 700 millilitres d’eau par an. Et les entreprises d’exploitation minières consomment énormément d’eau.

De l’eau du barrage pour laver les minerais

L’entreprise Ferbasa exploite du chrome à Andorinha, où le DNOCS, le Département National de Mesures Contre la Sécheresse, possède un barrage qui, selon l’entreprise, a été construit en tenant compte des activités de l’entreprise. L’an dernier, le barrage fonctionnait à 30% de sa capacité – treize millions de litres –, conséquence de trois ans de sécheresse. Plus de cent familles dépendent de la pêche effectuée dans les eaux du barrage, qui servent également à abreuver les animaux. Les communautés ont protesté, exigeant de l’entreprise qu’elle prélève moins d’eau, car la priorité, en théorie du moins, devrait consister à étancher la soif des humains. L’entreprise a émis un communiqué stipulant qu’elle ferait valoir les prérogatives attachées à la concession qu’elle a obtenue auprès de l’Agence Nationale des Eaux jusqu’en 2021, arguant que l’eau est indispensable à la bonne marche de l’entreprise, des employés, ou au versement des 2% de recette que perçoit la commune, entre autres choses.

À Campo Alegre de Lourdes, le 19 septembre est devenu la journée de la lutte contre l’exploitation minière : tous les ans, les habitants font une marche jusqu’à la colline Tuiuiú, convoité par les prospecteurs, qui ont déjà détecté la présence de fer et de vanadium près de la colline de la Carlota. Chrome, vanadium et nickel font eux aussi l’objet d’une exploitation intense dans l’État de Bahia : ils interviennent dans le processus d’industrialisation de l’acier et sont des composants fondamentaux de l’acier inoxydable. Le chrome est un minerai dont le potentiel cancérigène est connu depuis longtemps, et la population d’Andorinha – des employés retraités et leurs proches se plaignent, entre autres, de maladies des poumons ou de la colonne vertébrale – pâtit de cela au quotidien. En 2014, le Brésil a enregistré plus de 576 000 cas de cancer, et ce chiffre connaîtra une augmentation de 38% au cours des cinq prochaines années.

Impact de l’exploitation de l’uranium

Pendant ce temps, des problèmes très graves surviennent : voilà vingt ans que l’exploitation d’uranium fait rage à Caetité, à 750 km de Salvador de Bahia, en plein cœur de la caatinga. Un gisement dont les Industries Nucléaires Brésiliennes (INB) – une entreprise publique rattachée au Ministère de la Science, de la Technologie et de l’Innovation, qui exploite depuis 2000 le minerai dans la région – estiment qu’il contiendrait plus de 100 000 tonnes d’uranium. La mine se trouve dans le secteur de Maniaçu, à douze kilomètres de la ville, où vivent huit communautés rurales. L’entreprise INB est une entreprise nationale contrôlée par la Marine et fonctionne manifestement comme aux temps de la dictature. Autrement dit, elle n’a jamais pris en compte les plaintes et les revendications des communautés rurales au sujet de la pollution atmosphérique, du déversement de substances toxiques ou des problèmes de santé enregistrés.

En collaboration avec le CRIIAD, un laboratoire français indépendant, la FIOCRUZ [5] a mené une étude sur la pollution à l’uranium à Caetité, dans le cadre d’un projet international piloté par l’Université Autonome de Barcelone, cherchant à mesurer sur les communautés concernées l’impact de l’exploitation de l’uranium à travers le monde. Dans cette étude, présentée en 2013, les chercheurs publient des données concernant la pollution aux rayons Gamma, présente selon des taux qui s’avèrent 2,5 à 10 fois supérieurs aux seuils autorisés dans deux communautés proches de la mine. En fait, depuis l’implantation de l’entreprise – qui produit le Yellow Cake, le concentré d’uranium qui ensuite sera mis à profit à l’étranger et reviendra sous forme de combustible dans les usines d’Angra dos Reis –, plus de dix accidents ont été enregistrés.

Les communautés ont enregistré des cas de cancer

La vérité est simple et sans détour : les entreprises d’exploitation minière et leurs prestataires agissent de manière dictatoriale à l’intérieur du pays. Officiellement, elles assurent entretenir de bons rapports avec les communautés et dialoguer avec elles, l’entreprise INB ayant même ouvert un centre culturel à Caetité – une ville de 50 000 habitants –, mais elles n’évoquent jamais l’impact causé par l’exploitation de l’uranium. Les communautés ont dû recenser elles-mêmes les familles dont les membres souffrent de cancer – 21 cas, dont 17 se sont soldés par un décès –, en vue d’accumuler des arguments et de réussir à prouver que l’augmentation du taux de morbidité et de mortalité est liée à l’uranium – un fait pourtant indubitable à l’étranger. En l’absence d’unité de veille sanitaire, il ne sert à rien d’avoir un centre culturel. Autre point fondamental : l’entreprise qui extrait l’uranium, c’est-à-dire qui casse la roche, la lave et en retire ensuite la partie noble permettant d’obtenir le concentré, est aussi celle qui s’occupe de la gestion de l’environnement. C’est la Commission Nationale de l’Énergie Nucléaire, un organisme lui aussi lié au MCTI, qui s’occupe de la surveillance du site, ce qui signifie qu’il n’y a pas de contrôle ou de surveillance indépendants. Pire encore : les 400 tonnes de concentré d’uranium produites annuellement et envoyées en France depuis le port de Salvador de Bahia y sont acheminées par voie terrestre.

Le cauchemar des communautés ne s’arrête pas là. Les entreprises d’extraction ont également découvert un gisement de phosphate contenant de l’uranium à Santa Quitéria, une commune de l’État du Ceará située à 270 kilomètres de la capitale fédérale, Fortaleza. Un consortium s’est formé entre le groupe Galvani et l’entreprise INB, l’IBAMA, et les activités d’extraction ont déjà commencé. À la fin de l’année dernière, l’IBAMA a organisé dans la région trois conférences publiques sur le sujet. À cette occasion, les représentants des entreprises ont évoqué le projet, la sécurité, la technologie, mais n’ont rien dit à propos des risques et des mesures de précaution à prendre par la population. Dans l’État du Ceará, s’est créée la Coordination Antinucléaire, composée du Mouvement des Sans Terre (MST), du groupe interdisciplinaire Núcleo Tramas de l’Université Fédérale du Ceará, de la CPT (Commission Pastorale de la Terre, une association de défense des petits travailleurs ruraux) et de la fondation Caritas.

L’IBAMA sollicite des réajustements depuis cinq ans

Au sujet de l’IBAMA, l’Organisation Antinucléaire attire l’attention sur le Permis d’Installation concédé à l’INB le 22 avril 2015, permettant à l’entreprise de continuer d’étendre ses activités à Caetité, et ce jusqu’au dans le quartier de Lagoa Real – qui est en réalité une commune à part entière. La mine du secteur de Maniaçu est probablement épuisée : si l’on se base sur ce qui s’est passé jusqu’ici, les exploitations d’uranium au Brésil ont une durée de vie moyenne de quinze ans. L’organisme exige :

« La demande de mise en adéquation de certains programmes environnementaux en vigueur au sein de l’installation, comme la révision des programmes de Surveillance Environnementale Opérationnelle, de gestion des Résidus Solides ou d’Inspection Régionale, entre autres. Ladite révision implique des réajustements que l’IBAMA sollicite auprès de l’entrepreneur depuis cinq ans et a pour objectif de renforcer la gestion environnementale du projet. Rappelons que cette révision ne saurait constituer un point final à la série d’améliorations jugées naturelles et nécessaires au bon déroulement du projet ».

L’entreprise INB nie catégoriquement l’existence de toute pollution

Quinze ans se sont écoulés depuis le début de l’exploitation à Maniaçu. Les communautés se sont toujours plaintes de la pollution, principalement de la pollution de l’eau. Les organismes environnementaux n’ont jamais accueilli ces revendications. L’INB affirme qu’elle supervise 150 forages et qu’ils respectent les seuils d’acceptabilité définis par le Ministère de la Santé et par le Conseil National de l’Environnement (CONAMA). Quelle est la fiabilité de ce genre de déclaration ? Elle est nulle, principalement parce que l’entreprise a déjà manipulé les résultats d’une étude de la FIOCRUZ, assurant que l’uranium ne pollue pas l’environnement et ne présente aucun risque pour la population.

Le problème devrait encore s’aggraver à Caetité, à cause des opérations de l’Eurasian Natural Resources Corporation, une entreprise du Kazakhstan, basée à Londres, connue au Brésil sous le nom de Bahia Mineração (Bamin), qui exploitera un gisement de 400 millions de tonnes dans la commune bahianaise. Le projet consiste à transporter le fer par voie ferrée jusqu’au Port d’Ilhéus, où la Bamin jouira d’un terminal dédié agrémenté d’un espace pour travailler le minerai, et ce en plein cœur d’une région touristique.

Mais il existe un cas plus grave encore : le gisement de Poços de Caldas, au Sud de l’État du Minas Gerais, où l’INB a exploité de l’uranium jusqu’en 1995 avant de fermer la mine – de décommissionner, comme on dit dans la novlangue néolibérale –, laissant là dix-sept millions de déchets radioactifs accumulés, sans compter la terre retournée ayant fait l’objet d’un tri afin d’en extraire les éléments d’intérêt. L’exploitation minière suppose toujours énormément d’eau et de terre gaspillées, en plus du trou pratiqué dans la roche. Dans le cas de l’uranium, l’exploitation se fait à ciel ouvert.

Le sort des déchets radioactifs reste un mystère

Le devenir des déchets radioactifs de Poços de Caldas, la première mine d’uranium du Brésil, mise en fonctionnement en 1982, à la fin de la dictature, est un mystère impossible à élucider. En juin 2013, une information officielle évoquait la vente par l’entreprise Global Green Energy Science and Technology de quinze millions de tonnes de déchets à la Chine, qui reviendraient au Brésil une fois traités et seraient réutilisés en tant que matière première. Il n’existe aucune information relative au sort des déchets radioactifs de Poços de Caldas, ni sur le site d’INB, ni sur celui du MCTI.

Historiquement, la caatinga, le seul macro-écosystème exclusivement brésilien, est un lieu de souffrance et de spoliation séculaire, un destin que la modernité ne fait qu’aggraver au nom du développement et du progrès. Les déchets de Poços de Caldas contiennent du thorium et du radium, deux minerais associés à l’uranium. L’un a une durée de vie moyenne de 75 000 ans, l’autre de 1600 ans. L’uranium est utilisé par les paléontologues dans la datation de certains éléments ayant plusieurs milliards d’années : sa durée de vie moyenne est de 4,5 milliards d’années, ce qui correspond à l’âge de la terre. Aucune entreprise d’exploitation minière au monde n’a de solution au problème des déchets causés par l’exploitation de l’uranium, même les usines nucléaires ne savent pas quoi faire du combustible utilisé. Il s’agit d’une technologie primaire, qui utilise un combustible explosif et destructeur. L’uranium enrichi provoque le chauffage de l’eau, dont l’ébullition permet ensuite d’actionner les turbines qui produiront l’énergie électrique.

Début juin, la semaine mondiale de l’environnement est l’occasion pour les entreprises de pleurnicher sur la nécessité de détruire la planète et d’exposer leurs projets d’éducation environnementale et de plantation de semis.

Réponse de l’INB (publiée le 03/06/2015)

En réponse à l’article publié le 2 juin dernier sur le site de Carta Maior, sous le titre « Exploitation minière dans la caatinga : le cauchemar des communautés rurales », les Industries Nucléaires du Brésil (INB) tiennent à préciser que plusieurs informations divulguées au sujet des activités de l’entreprise à Caetité, à Santa Quitéria et à Caldas, sont incorrectes :

Les Industries Nucléaires du Brésil - INB sont une entreprise nationale liée au Ministère de la Science, de la Technologie et de l’Innovation, et non à la Marine brésilienne.

L’INB agit de manière transparente, en diffusant des informations et en dialoguant avec les entités et les populations établies au voisinage de ses installations ; sur le site de l’entreprise, tout citoyen peut trouver des informations actualisées concernant les opérations de l’entreprise, qui répond via divers canaux, y compris le Service d’Information au Citoyen, à toutes les demandes d’informations et aux doutes qui subsisteraient.

Les résultats des études techniques réalisées par l’Agence Internationale de l’Énergie Atomique (AIEA, un organisme relié à l’ONU), par la Fiocruz et par la Commission Nationale de l’Énergie Nucléaire, attestent qu’il n’y a pas de pollution à l’uranium à Caetité et que la population locale n’est pas exposée à des niveaux de radiation nocifs pour la santé de ceux qui vivent près des installations de l’entreprise.

Nous informons que la moyenne historique des taux de radiation des eaux de Caetité est de 0,1 becquerel par litre, soit une valeur cinq fois inférieure à la valeur maximale autorisée par les institutions nationales et internationales, qui est de 0,5 becquerel par litre.

La Commission Nationale de l’Énergie Nucléaire a également établi que la radioactivité relevée dans ces eaux est inférieure à celle relevée sur des sites touristiques comme Araxá (État du Minas Gerais), Águas de Lindóia (État de São Paulo) et Guarapari (État d’Espirito Santo), et réaffirmé que la présence d’uranium dans les eaux souterraines de la région est naturelle, ne pouvant ainsi être attribuée aux opérations de l’INB.

La possibilité de l’augmentation des cas de cancer dans la région a fait l’objet de recherches de la part de la Fondation pour le Développement Scientifique et Technologique de la Santé - Fiotec/Fiocruz, qui a effectué un relevé complet des occurrences de cette maladie entre 1995 (avant l’arrivée dans la région des Industries Nucléaires du Brésil - INB) et 2005, comparant les données obtenues aux cas survenus dans l’État de Bahia. D’après cette étude, le taux de cas de cancer à Caetité en 1995 est de 6,5%, alors qu’il atteint 7,4% dans l’État de Bahia. En 2005, le pourcentage est de 6,6% à Caétité, contre 9,45% dans l’État de Bahia.

En ce qui concerne le transport du concentré d’uranium entre Caetité et le port de Salvador de Bahia, l’INB informe que cette opération, supervisée par l’IBAMA, est réalisée dans le respect des normes de protection physique et radiologique en vigueur dans le monde entier. Les barils de Yellow Cake sont soigneusement rangés et fixés dans des conteneurs pour éviter qu’ils ne s’entrechoquent ; les conteneurs fermés sont transportés dans des camions convoyés par du personnel spécialisé sous la responsabilité de la Police Routière Fédérale, des pompiers et de la Police Civile de l’État de Bahia. Toute l’opération se déroule sous le patronage du Système de Protection du Programme Nucléaire, le SIPRON.

Le permis concédé par l’IBAMA le 22 avril 2015 concerne l’exploitation d’un nouveau gisement d’uranium qui se trouve dans le périmètre où l’INB est actuellement installée, près du secteur de Maniaçu. Toute cette région est connue sous le nom de Province Uranifère de Lagoa Real, mais cela ne signifie pas que l’INB commencera à exploiter un nouveau territoire de la commune de Lagoa Real.

Au sujet de la région de Caldas, l’INB, au moyen d’une autorisation rendue publique le 07/08/2013, a donné son accord pour l’exportation de 16 000 tonnes de Yellow Cake, et non de quinze millions de tonnes comme cela est mentionné dans l’article. Des informations au sujet de l’installation de Caldas – et au sujet de toutes les installations de l’INB – sont disponibles sur le site www.inb.gov.br, dans la rubrique « Accès à l’Information – Questions Fréquentes ».

L’INB se tient en permanence à disposition de toute entreprise et de tout citoyen afin d’éclaircir tout doute relatif à ses activités. Consciente de sa responsabilité devant l’ensemble de la société, l’entreprise travaille à ce que les données concernant ses activités soient correctement divulguées, car elle est convaincue du fait que des informations incorrectes ou imprécises peuvent engendrer des craintes et nuire aux populations qui vivent près de ses installations.

Voir en ligne : Carta Maior

[1Instituto Brasileiro de Geografia e Estatística : Institut Brésilien de Géographie et de Statistiques.

[2Instituto Brasileiro de Geografia e Estatística : Institut Brésilien de Géographie et de Statistiques.

[3Instituto Regional da Pequena Agricultura Apropiada : l’Institut Régional de la Petite Agriculture Adaptée regroupe des agriculteurs et des paysans de la région semi-aride cherchant à défendre l’occupation populaire de la terre et à développer des techniques adaptées aux conditions climatiques particulières de la région.

[4Caatinga  : région aride typique du Nord-Est du Brésil, caractérisée par une végétation composée d’arbres peu feuillus et de broussailles épineuses.

[5La Fondation Oswaldo Cruz, reliée au Ministère de la Santé, a pour mission de promouvoir le développement de mesures sanitaires et sociales, ou encore de soutenir et de diffuser la connaissance scientifique et technologique.

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