Par Marilza de Melo Foucher
L’Amazonie a toujours été l’objet d’un intérêt international sous tous les aspects. Elle soulève autant d’attention de l’opinion publique internationale avocate de son intégrité écologique que celle des grandes puissances aux intérêts divers dans cette immense réserve des richesses naturelles. Cette région de dimension continentale a aussi représenté un laboratoire idéal pour démontrer la brutalité du capitalisme avide et prédateur.
Le résultat de la politique « développementiste » et du modèle néo-libéral mis en place en Amazonie, en plus de détruire les écosystèmes ruraux et urbains de la région, va aussi provoquer une explosion de mécontentements, qui au fil des années se sont transformés en une mobilisation sociale de résistance. De fait, l’idéologie néo-libérale a toujours visé la destruction du tissu social et a toujours créé de nouvelles formes de tutelles pour freiner l’avance des mouvements sociaux émergents, à exemple des peuples indigènes de l’Amazonie. Précédemment les Indiens qui vivent sur le territoire brésilien étaient considérés comme des personnes handicapées par la constitution brésilienne.
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