C’est le contre-effet du Mondial. Un comble pour le Brésil dont on disait qu’il est le pays où le football est roi. A voir ainsi, jour après jour, ces manifestants toujours un peu plus nombreux battre le pavé pour critiquer la gabegie et les sommes abyssales investies dans l’organisation de la Coupe du monde de football 2014 et des Jeux olympiques 2016, alors que les services publics comme la santé et l’éducation sont dans un état déplorable, on se demande si les dirigeants n’ont pas eu les yeux plus gros que le ventre.
Le nouveau stade Maracana à Rio, toujours en chantier, a rouvert le 2 juin pour un match amical avant la Coupe des confédérations (du 15 au 30 juin). | Vincent Rosenblatt / Agencia Olhares pour « Le Monde »
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