Éloge de la paresse

 | Par Adauto Novaes

Pour le paresseux, « il faut être distrait pour vivre », s’éloigner du monde sans s’en faire oublier, et être pour cela accusé de ne pas contribuer au progrès. Outre le crime contre la société du travail, le paresseux commet en plus un péché capital. Selon la logique du travail et de l’église, il doit donc payer pour ce qu’il ne fait pas.

Source : Le monde diplomatique Brasil - août 2011

Traduction : Etienne Bouchard pour Autres Brésils

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Le critique et essayiste Jean Starobinski commence ainsi le livre Action et réaction : “Dans la comédie humaine, Balzac décrit les délicieux voyages de Louis Lambert à travers les mots : "Quel beau livre ne composerait-on pas en racontant la vie et les aventures d’un mot ?"
C’est ce que propose le cycle "Éloge de la paresse". Des philosophes français et brésiliens racontent en quatre-vingt conférences dans quatre états du Brésil – Rio de Janeiro, Belo Horizonte, São Paulo et Brasília – la vie et les aventures de la paresse, et montrent que son histoire fut toujours mal contée.

[...]

Lire le texte en entier :

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