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Les années du président brésilien Jair Bolsonaro ont conduit à une situation particulièrement alarmante dans le pays. En pleine crise sanitaire qui a touché le Brésil de plein fouet, le choix du gouvernement d’extrême-droite s’est tourné vers l’austérité. Résultat : une augmentation massive de la pauvreté et de la misère.

Un projet de corridor routier bi-océanique entre le Brésil et le Chili a été lancé, sur proposition de l’Institut de recherche économique appliquée (IPEA). Ce projet présente des avantages certains pour la région du Mercosur en termes de relations commerciales, mais les politiques du président brésilien Jair Bolsonaro compromettent sa réalisation.

Le Brésil souffre d’une forte inflation depuis le début de la crise pandémique. Des biens essentiels tels que la nourriture, les carburants et l’éducation subissent une hausse fulgurante de leurs prix.

Les organisations de la société civile européenne et du Mercosur organisent une « semaine de pression » du 2 au 9 novembre pour exiger l’abandon pur et simple de ce projet d’accord et affirmer que de simples modifications cosmétiques ne sauraient être acceptées : le temps est venu de revoir en profondeur la politique commerciale européenne.

Le projet d’Engie au Brésil prévoit l’installation de 1 069 tours de transmission d’électricité sur une superficie de 320 mille hectares, sans que les communautés n’aient été consultées ; par décision judiciaire, les permis environnementaux de deux des sept tronçons du projet ont été suspendus.

Le site Mr Mondialisation révèle que la firme franco-belge Engie a commencé la construction d’un réseau électrique qui endommagera plusieurs zones naturelles remarquablement préservées du Brésil, dans l’État de Paraná.

Les services de livraison font partie des activités essentielles pendant la pandémie, mais les professionnel·le·s du secteur accusent les applications de négliger leur sécurité.

En plein essor depuis le début des années 1980, l’évangélisme mobilise des foules de fidèles réunis par une même vision ultraconservatrice du monde. Au Brésil, ils n’omettent toutefois pas de s’assurer de confortables revenus.

La déforestation en Amazonie est indéniablement liée au secteur agro-industriel du Brésil. Les pressions de partenaires économiques et financiers pour contenir cette catastrophe commencent à déranger le gouvernement.

Au Brésil, entretien avec Tiago Bonini livreur de repas. Le mouvement des « livreurs antifascistes », dont il fait partie, dénonce la dégradation de leurs conditions de travail et l’uberisation forcée de la société. Ils ont manifesté, le 1er juillet, à la première méga-paralysation des livreurs de repas.