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A l’occasion de la visite en France du président « Lula », les 13 et 14 juillet, le Théologien de la libération Frei Betto, compagnon de route du président, dresse un bilan sans concession de la gauche au pouvoir.

Les ressemblances entre les histoires des gouvernements du président Lula et de Tony Blair (...)

Le gouvernement brésilien ne va pas renouveler l’accord avec le Fonds monétaire international (FMI) qui s’achève fin mars.

Le dernier Forum social mondial (FSM) de Porto Alegre aura été l’occasion d’une polarisation symbolique et politique entre Lula et Chávez.

Le président brésilien refait en 2005 le même trajet qu’il y a deux ans. Un petit saut aujourd’hui à Porto Alegre avant de monter dans l’avion pour la Suisse et son Forum économique mondial de Davos. Mais cette fois, Lula n’a pas été invité officiellement par le Forum social mondial mais par quelques organisations. LE GRAND SOIR

Pendant le régime militaire, le général Médici, un des dictateurs de service, a eu un accès de sincérité en déclarant : « l’économie va bien mais le peuple va mal ». Il parcourait alors le Nord-Est brésilien où se concentrent des signes impressionnants de misère et avait été surpris par le spectacle de pauvreté qu’il avait devant les yeux. Un texte de Lula de 1994.

Une évaluation des deux premières années de gouvernement Lula (2è partie)

Une évaluation des deux premières années de gouvernement Lula (1ère partie)

Deux ans après l’arrivée au pouvoir du président Luiz Inacio « Lula » da Silva, la politique monétariste du gouvernement en a fait la coqueluche des milieux financiers, mais 58 millions de Brésiliens vivent toujours avec moins d’un dollar par jour. Effet boomerang, les élections municipales d’octobre-novembre 2004 ont donné lieu à des résultats mitigés pour le Parti des travailleurs, et deux partis, du centre et de centre gauche, quittent la coalition au pouvoir. LE MONDE DIPLOMATIQUE

Les élections municipales, dont le premier tour vient de s’achever, ont révélé une avancée peu spectaculaire du Parti des Travailleurs de Lula.
Cela s’explique par l’absence d’une ligne politique cohérente.