Lors des élections d’octobre 2010, Dilma Rousseff a défendu la continuité de Lula. Qu’en est-il ? Par Jean Tible, ex-membre de la commission Relations Internationales du Parti des travailleurs brésilien.
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Dilma : quelle continuité ?
Lors des élections d’octobre 2010, Dilma Rousseff a défendu la continuité de Lula. Qu’en est-il ? Par Jean Tible, ex-membre de la commission Relations Internationales du Parti des travailleurs brésilien.
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Profondément influencés par la finance, la majorité des parlements, gouvernements et médias sont devenus sourds à la société. Qu’en est-il du gouvernement de Dilma Rousseff ?
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Face aux difficultés de début de mandat, Dilma Rousseff, même sans le charisme et l’expérience politique de Lula, a maintenu le cap avec fermeté. Par Márcio Cândido, dirigeant local du Parti des travailleurs (PT).
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Alors qu’en vingt ans, l’agrobusiness battait des records de production et d’exportations, 5 millions de Brésiliens fuyaient la campagne. Aujourd’hui, un quart de la population rurale vit dans l’extrême pauvreté.
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Quoi qu’il advienne du nouveau Code forestier, le comportement de la base (pas tellement) alliée sert d’alerte au gouvernement. Jusqu’où la présidente Dilma peut-elle compter sur les partis du centre et avec le PMDB ?
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Dilma aura-t-elle une plus grande autonomie dans le traitement des questions internationales, surtout face aux grands intérêts défendus par les dirigeants des pays impérialistes ?
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Priorité de Dilma Rousseff en 2011, la proposition de réforme fisacle laisse inchangée la régressivité du système brésilien, qui fait qu’un pauvre est touché plus fortement qu’un riche.
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L’objectif est aussi clair qu’ambitieux : « Un Brésil sans misère ». Tel est le nom du plan lancé en grande pompe jeudi 2 juin par la présidente Dilma Rousseff et qui ne vise pas moins qu’à éradiquer de son pays la « pauvreté extrême » d’ici 2014. Le Monde
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C’est peut être le plus grand des travaux de Dilma Rousseff : mettre au pas le secteur financier, accusé depuis longtemps de pratiquer des marges abusives. Dans la foulée, le ministre des Finances, Guido Mantega, a annoncé qu’il donnait un mois aux banques privées pour réduire leurs taux d’intérêt de 30% à 40%.
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