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L’association Autres Brésils a collecté des fonds en faveur des collectifs Mères de Mai au Brésil. Opération coup double via l’intermédiaire du MST.

Au Paraná, des communautés autochtones du Mouvement des Sans Terre installées sur des terres agricoles, à titre définitif ou provisoire suite à la réforme agraire, aident les habitants privés de nourriture par la pandémie.

Collecte de fonds pour l’achat de paniers de nourriture pour les ramasseurs et les ramasseuses des coopératives de recyclage face à la crise du Coronavirus.

Face aux propriétaires terriens qui tuent et dévastent la nature, des agricultrices cultivent la terre à échelle humaine pour renforcer leur autonomie et combattre le machisme.

Elsa Deshors, avec son documentaire « De briques et de tôles », ouvre les portes de la Rocinha, favela de Rio de Janeiro, une des plus grandes favelas d’Amérique latine, et donne la parole à ses habitants.

Dans l’île de Marajó (Para), une ville de 35 mille habitants vit en harmonie et de manière frugale avec la forêt, la rivière-mer et un moyen de transport universel : la bicyclette.

Le nombre d’agriculteurs cherchant à réaliser une transition des systèmes productifs conventionnels à la production d’aliments en harmonie avec la nature est en augmentation.

La mégapole brésilienne veut tordre le cou à sa mauvaise réputation. L’association Viva o Centro organise des promenades nocturnes et fait découvrir la ville de manière ludique tout en sensibilisant les participants aux difficultés du quartier.

La municipalité de Maricá, dans l’état de Rio de Janeiro, déclare la guerre aux entreprises de transports et inaugure les bus gratuits.

Depuis plus d’une dizaine d’années, une usine de Sumaré (État de São Paulo) est contrôlée par ses ouvriers, qui doivent régler les dettes laissées par les patrons et souhaitent la nationaliser.