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L’assèchement des lacs et des rivières au Brésil, et plus particulièrement dans le Pantanal et dans l’état du Mato Grosso do Sul alarme les associations.

Au Brésil, des patrouilles armées, des drones et des murs bloquent déjà l’accès aux rivières et aux retenues d’eau. La privatisation de l’assainissement et de l’Eletrobras fait peser une menace de ségrégation sur tout le pays. Une nouvelle question politique s’impose : le droit à l’eau démarchandisée.

Sur les 196 municipalités en état d’urgence, 88 se trouvent dans le bassin du Rio Doce et 20 à Paraopeba. La plupart des morts se trouvent également dans cette région.

Par Eduardo Amorim et Raquel Baster, pour Carta Capital – 27 septembre 2019 Traduction : Regina (…)

Le 14 mars, est la Journée internationale de lutte contre les barrages, pour la défense des (…)

Le brutal assassinat d’un leader causé par les conflits liés à la transposition du fleuve São
Francisco a provoqué une vive émotion parmi les mouvements sociaux et les organisations
populaires.

Les effets sont dévastateurs. Dans la fazenda d’Antonio Luciano , on a même dévié le cours du fleuve São Francisco, sans licence environnementale ni études techniques, afin de faciliter l’écoulement de la production.

Lula a été élu président de la République brésilienne le 6 octobre 2002. 6 ans après son bilan est en demi-teinte. La démission récente de sa ministre de l’environnement l’illustre. MOUVEMENTS

« Ma critique de la grève de la fin de Dom Luiz a offensé les lecteurs. J’avais senti depuis un certain temps que bon nombre d’entre eux n’appréciaient pas le ton ironique ou encore la critique que je faisais du mouvement écologiste. »

Un appel public à rejeter l’actuel projet du gouvernement fédéral de détournement du fleuve São Francisco. « Ce projet est pharaonique. Il n’est pas non plus démocratique. »