Recherche par thématique

Dans une interview, Egon Heck, coordinateur du CIMI (Conseil Indigéniste Missionnaire), signale des faits de violence pratiquée par des entreprises, propriétaires de grandes exploitations, contre les peuples indigènes.

Tragiquement symboliques, les assassinats des jeunes du Morro da Providência mettent à nu ce que la République brésilienne a de pire : la persistance de l’apartheid social – que les médias s’emploient à masquer…

Les brésiliens se sont rendus aux urnes début octobre pour désigner leurs autorités municipales. Un rendez-vous qui depuis le retour de la démocratie en 1985, mobilise fortement, chaque 4 ans, les citoyens. Hélas, cette année encore, la campagne électorale n’a pas été exempte de violence : une vingtaine de candidats ont été assassinés, des dizaines d’autres empêché d’aller pêcher des voix dans certains zones périphériques des grandes villes comme Rio de Janeiro. VIVAFAVELA

Le livre Plantados no Chão est né d’une proposition que m’ont faite les éditeurs de la maison d’édition Conrad : faisons un livre, une sorte de liste des cas d’assassinats politiques dans le Brésil d’aujourd’hui.

Information sur la condamnation à une peine de prison de José Batista, avocat de
la CPT Marabá, sud-est du Pará, et membre de la Coordination nationale de la
CPT.

Le Conseil indigène du Roraima lance un appel urgent à la communauté internationale lui demandant d’exhorter le gouvernement brésilien et la Cour suprême à expulser immédiatement les occupants illégaux de leurs terres.

Oui, c’est vrai, une guerre est en cours et le trafic de drogue doit être combattu. Le problème est de savoir qui est l’ennemi et comment le vaincre. Rien de tout cela n’est aussi évident qu’il ne le paraît.

La violence exercée à l’encontre des Indiens par les fermiers qui occupent illégalement des terres indigènes dans le Roraima a poussé la Cour suprême brésilienne à suspendre l’opération de police visant à les expulser.

Quand un politicien conservateur ou un policier, désireux de couvrir les excès commis, se réfère de manière péjorative aux « gens des Droits de l’Homme », très souvent, il a en tête l’avocat Ariel de Castro Alves.

Le 4 mars, environ 900 femmes de la Via Campesina Rio Grande do Sil, ont occupé les 2100 hectares de la Fazenda Tarumã à Rosario do Sul. La police a violemment chargé et en a blessé gravement au moins 50.