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Natalia Viana, l’une des fondatrices de Pública, fait part de sa vision du marché et de ses professionnels, et des possibilités médiatiques générées par des expériences de journalisme indépendant.

Le jeudi 31 octobre 2013, près de 2 000 personnes sont descendues dans les rues de Rio de Janeiro pour une manifestation intitulée « Cri pour la liberté ».

Les « rolezinhos » se multiplient et suscitent de vives réactions. Symptômes d’une jeunesse marginalisée.

L’écrivain Luiz Ruffato a reçu des applaudissements, mais aussi de dures critiques après son discours controversé lors de la cérémonie d’ouverture de la Foire du Livre. Dans une interview à DW [Deutsche Welle], il affirme avoir fait seulement un portrait du Brésil.

On doit considérer que “faire de la politique” dans la sphère de la communication virtuelle a ses limites ! Le réseau n’est pas une finalité en soi. Il est simplement un instrument.

Ils sont partout, ou presque. Ils incarnent les yeux et la voix des manifestations qui agitent le Brésil depuis le 10 juin. Ils rivalisent avec la puissante chaîne de télévision Globo pour rendre compte des événements en direct. Le Monde

La lutte pour la réforme agraire et pour la justice sociale du MST est criminalisée quotidiennement par les médias brésiliens. Depuis le 1er mai 2013, un Projet de loi pour des médias démocratiques a été lancé. Acrimed

La Sociedade Interamericana de Imprensa (SIP) fonctionne comme un syndicat de propriétaires des grands conglomérats de communication, et représente aujourd’hui l’une des plus graves menaces à la liberté d’expression en Amérique Latine.

Deux journalistes brésiliens ont dû se mettre à l’abri après avoir été menacés de mort. Le Monde.fr

Les Brésiliens vivant à l’étranger et qui suivent sur Internet les informations en provenance des médias brésiliens, ont l’impression que leur pays n’a jamais été dans une situation aussi mauvaise.