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La famine connait un retour sans précédent au Brésil, due à une gestion catastrophique de la pandémie de Covid-19 et de ses conséquences.

A l’occasion de la sortie du dernier ouvrage de la journaliste Eliane Brum, – « Le bâtisseur de (…)

Au Brésil, un atlas inédit présente les conséquences asymétriques et mortifères de l’accord UE-Mercosur : expansion des espaces agricoles, exploitation de l’Amazonie et tarifs des pesticides réduits de 90 %. De l’Europe, la domination du marché latino-américain avec des produits de haute technologie.

L’Observatoire de la minération révèle le soutien des ambassadeurs des Etats-Unis, du Canada, de l’Angleterre et de l’Australie aux projets d’exploitation minières des Terres autochtones.

De la journée du 7 septembre au Brésil, nous retiendrons le « ton putschiste » et les attaques très graves de Jair Bolsonaro contre la Cour suprême. Néanmoins, malgré son appel à manifester en cette journée de fête nationale, le président d’extrême droite n’a pas obtenu le raz-de-marée escompté.

Symbole de ce que le gouvernement Bolsonaro rejette, les lanceurs d’alerte brésiliens sont contraints de quitter le pays sous le poids des menaces qui pèsent contre eux.

Le 7 septembre au Brésil, le président s’est approprié la fête nationale pour convoquer des manifestations contre le Tribunal Suprême Fédéral.

Les attaques du président d’extrême-droite Jair Bolsonaro contre les institutions démocratiques brésiliennes s’intensifient. Alors que ce dernier appelle ses partisans à une marche le 7 septembre, jour de la fête nationale, pour intimider le Congrès et la Cour Suprême, des députés et personnalités du monde entier tirent la sonnette d’alarme face à cette menace insurrectionnelle.

L’arrivée de Bolsonaro au pouvoir a marqué le déclin des contrôles des infractions environnementales. En utilisant divers obstacles bureaucratiques, le gouvernement Bolsonaro met en danger la punissabilité de milliers d’infractions.

Le président d’extrême-droite brésilien est de plus en plus décrié. Au regard de sa gestion calamiteuse de la crise sanitaire et des soupçons de complaisance avec des affaires de corruption, la population semble désormais se prononcer majoritairement en faveur de sa destitution, d’après une étude récente.