Recherche par thématique

Il est devenu le martyr d’une cause nouvelle au Brésil : la lutte contre un modèle de production agricole « néolibéral ». Valmir Mota était membre du Mouvement des travailleurs ruraux sans-terre (MST). Il a été tué le 21 octobre, lors d’un échange de tirs sur un champ expérimental d’OGM. LIBERATION

Un paysan sans terre a été tué par un garde de la société suisse. Il protestait contre l’usage d’OGM dans une zone protégée. Selon le gouverneur du Paraná et les mouvements sociaux, Syngenta devrait quitter le pays.

A 13h30, le 21 octobre dernier, le membre du MST et de Via Campesina, Valmir Motta, 42 ans, père de trois enfants, a été exécuté de près de deux balles dans la poitrine.

Juin 2007 : une action du Groupe spécial d’inspection du travail libère 1064 ouvriers agricoles d’une plantation de canne à sucre située en Amazonie. En quelques jours et pour plusieurs semaines, surgit une polémique nationale à propos de la répression de l’esclavage moderne, allant jusqu’à mettre en doute la réalité du fléau.
DIAL

Le 21 octobre 2007, des hommes en armes à la solde de SYNGENTA, multinationale suisse, ont attaqué des paysans sans Terre du MST qui occupaient pacifiquement une parcelle et ont assassiné un des militants paysans, Valmir Mota de Oliveira. Projection/débat pour comprendre la situation et protester contre cet assassinat.

Entretien avec J.P. Stédile. Le modèle de réforme agraire classique a été vidé de son contenu « par les élites brésiliennes qui ont adhéré au néolibéralisme, un modèle dominé par le capital financier et international ».

A l’aube du 8 mars 2006, plus de 1500
femmes paysannes entrent dans la pépinière
forestière de l’entreprise Aracruz Celulose à
Barra do Ribeiro, près de Porto Alegre.

« Nous luttons surtout pour assurer la récupération et la préservation de la diversité biologique, des forêts, des plantes médicinales, des semences indigènes, de l’eau et de la terre, qui sont le patrimoine des peuples au service de l’humanité »

Je vous présente un petit héros : il s’appelle Eduardo Sousa Pereira Júnior. Il a 9 ans. Depuis l’âge de trois mois, il vit avec son père, Eduardo, et sa mère, Maria Aparecida, dans le campement de « Gurita ».

Sur le site d’Alternatives International, un dossier « Points de repère » consacré au Brésil de ce début de 2è mandat de Lula.