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Le 24 mai 2017, 10 travailleurs ruraux sans terre – une femme et 9 hommes – ont été assassinés par des policiers aux abords de la ferme de Santa Lúcia, dans la région de Pau D’Arco, au sud-est de l’immense Etat amazonien du Pará

La Cour interaméricaine a statué que le Brésil devait publier un rapport annuel présentant des données sur les décès résultant d’interventions policières et établir des programmes en vue de réduire les violences et les homicides imputables à la police de Rio de Janeiro.

Ces derniers jours au Brésil, des images aberrantes de deux crimes emblématiques de la violence sociale dans le pays ont choqué la population. Des scènes qui révèlent la brutalité de la société capitaliste brésilienne, profondément raciste, homophobe et inégale.

Alors que les cloches sonnaient les derniers instants de 2016, nombreux sont ceux au Brésil qui respiraient de soulagement en voyant se terminer cette année terrible. Cependant, la tuerie perpétrée à Campinas par un homme contre son ex-compagne, son fils et une famille entière en plein réveillon du nouvel an montre que ce soulagement est bien illusoire.

La terrible décision rendue par un tribunal au Brésil de classer l’affaire concernant l’homicide d’un garçon de 10 ans tué lors d’une opération de la police militaire dans une favela de Rio de Janeiro risque de laisser les forces de sécurité échapper à toute sanction, a déclaré Amnesty International.

Entretien avec Pedro Estevan Serrano, Antônio Visconti, Alessandra Texeira et Givalnido Manoel sur la pratique répressive de la Police militaire (PM) dans le contexte de crise politique actuelle.

Ce 25/11 les latino-américain-e-s participerons à la manifestation contre les violences faites aux femmes à Paris, sous le mot d’ordre #NiUnaMenos, #PasUneDeMoins.

Ce 4 novembre au matin, la police brésilienne a envahi un centre de formation du mouvement des (...)

Le cycle « Ciné-Histoire » organise la projection du film « La jeune fille et la mort », de Roman Polanski, au cinéma Les Sept Parnassiens, ce samedi, 5 novembre, à 10h30. Il sera suivi d’une rencontre avec le frère dominicain Paul Blanquart et la journaliste Leneide Duarte Plon. Ils parleront de Tito de Alencar, un jeune frère dominicain proche de l’ALN (de Carlos Marighella), arrêté et torturé par la dictature brésilienne, qui s’est donné la mort en France, en 1974.

Dans le cadre de la Semaine de la solidarité internationale, Autres Brésils vous invite à une projection du film : « Quem matou Eloá » [Qui a tué Eloá] de Livia Perez, suivie d’un débat sur les luttes des femmes latino-américaines contre la normalisation de la violence sexuelle véhiculée par les médias, pour le droit à l’avortement et l’accès à l’information sur la sexualité, la contraception, la grossesse et la maternité.