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« Aujourd’hui, les maisons d’enregistrement n’ont plus d’argent pour réaliser des clips. L’industrie culturelle est au bord de la faillite. Il y a un vide dans la programmation qui est en train d’être exploité par l’étranger. »

Le documentaire brésilien est devenu un espace de résistance au sein duquel les réalisateurs se sont penchés en profondeur sur divers thèmes émergents de la vie nationale qui sont presque toujours négligés ou délibérément déformés par les grands média.

Présent dans plus de 50 pays, le Théâtre de l’Opprimé a élevé Augusto Boal au panthéon des grands théâtrologues sociaux de tous les temps, l’inscrivant dans l’éternité aux côtés de noms tels que Brecht et Stanislavski. Dans cet entretien exclusif, Boal nous parle de la dissémination mondiale de son travail.

Le monde « post-moderne », néolibéral, anti-révolutionnaire, multiculturel (et autres idéologies officielles) cohabite avec une version quadragénaire du Tropicalisme.

La leçon serait la suivante : nous devons oublier les fantaisies tropicalistes et politiser les actions collectives.

Pur produit du génie brésilien. Voilà la traduction parfaite de l’union du riz et des haricots dans notre repas quotidien.

<img196|left> Avec le projet « Revelando os Brasis », le ministre de la Culture, Gilberto Gil, présente des vidéos qui montreront le Brésil que le Brésil ne connaît pas. Pour la découverte des singularités du peuple brésilien et de la spécificité de chaque recoin du pays.

Un film retrace la vie d’Olga Benario, la compagne de Luis Carlos Prestes, et rappelle de biens mauvais souvenirs aux Brésiliens...