Le bord de mer de Salvador est désormais tout à nous, modestes citoyens. Certains le croient. En effet, la totalité des trois cent quarante-neuf baraques*, bourgeoises ou, selon le quartier, fétides et branlantes, qui le longeaient a été détruite par ordre d’un juge fédéral, entre ce lundi 23 août et ce jeudi 26 août. Bahiaflâneur