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DIAL consacre son numéro de mai à la publication de la traduction intégrale de ce rapport rédigé par la Commission d’État de la Mémoire et de la Vérité Dom Helder Camara de l’État de Pernambouc (Brésil).

« Avant d’accéder à la liberté religieuse, nous avons besoin de la liberté humaine pour vivre dignement. »

Syriens, Pakistanais ou Sénégalais sont nombreux à s’installer au Brésil, où ils trouvent facilement du travail, des logements et même des lieux de prière.

Le Brésil est le pays qui compte la plus grande communauté catholique au monde avec 123 millions de fidèles pour 200 millions d’habitants. Paradis de la tolérance mais aussi de l’homophobie, au Brésil, l’influence de la religion n’est pas à négliger.

Le réseau social « FaceGloria » compte déjà plus de 100 000 utilisateurs en un mois. L’interface assumée par les évangéliques veut offrir une alternative « morale » au géant Facebook.

Créées par des chrétiens ayant quitté les églises traditionnelles, les églises inclusives accueillent et « incluent » les chrétiens LGBT.

Plusieurs groupes de protestants évangélistes ont participé ce dimanche à la 19ème Gay Pride de São Paulo.

L’association d’athées et agnostiques mène une lutte aux proportions bibliques : combat pour la laïcité de l’État brésilien. Le fondateur et président de l’association, Daniel Sottomaior, ne se laisse pas intimider par l’ampleur de la tâche et élargit le débat de l’espace publique vers celui de la Justice.

« Notre Congrès ne représente pas la société, il représente les intérêts des entreprises et de la religion. Ceci représente un danger pour la démocratie, une conquête de 30 ans. »

Pour la Justice Fédérale de Rio, le candomblé et l’umbanda devraient avoir un texte sacré comme fondement et vénérer une seule divinité suprême.