La réforme agraire, placée sous la responsabilité du ministre de la « gauche du Parti des travailleurs », membre du courant Démocratie socialiste (DS), Miguel Rossetto, est un échec. Pire, la vigueur avec laquelle, devant la stagnation d’une des réformes les plus importantes promise par le gouvernement Lula, les grands propriétaires fonciers font montre, selon leur tradition, d’une brutalité accrue et trouvent des appuis importants.
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