Jusqu’à il y a une semaine, elle était talonnée dans les sondages par Marina Silva, la frêle candidate écologiste à l’aura quasi-messianique. De quoi inquiéter Dilma Rousseff, la présidente sortante, à quelques jours de l’élection présidentielle brésilienne, le 5 octobre, la notoriété grandissante de la fervente chrétienne évangéliste, propulsée candidate du Parti socialiste (PBS), ayant raboté celle de la protégée de l’ancien président Lula.
Début septembre, Dilma Rousseff était même donnée perdante au second tour face à sa principale rivale (45 % contre 36 %). Des chiffres qui ont fait l’effet d’une bombe dans le camp Rousseff et lui ont valu quelques sueurs froides.
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