Philippe Revelli Photographe

 | Par Philippe Revelli

Le site internet du reporter-photographe Philippe Revelli. Deux reportages photos sur le Brésil : « Le mouvement des sans-toit » et « L’exploitation de la fibre de sisal ».

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Philippe Revelli voyage fréquemment en Amérique latine, mais aussi en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud-Est.

Il travaille, en France, sur des thèmes comme les sans papiers, le handicap mental ou le vieillissement.

Il conçoit et anime des projets personnalisés et des interventions en milieu scolaire.

Ses reportages (textes et/ou photos) ont été publiés dans Le Monde Diplomatique, l’Humanité, Télérama, la Chronique d’Amnesty International, Faim et développement magazine, Notre Histoire, Science et nature

Il collabore avec des organisations humanitaires et de développement (CCFD, Handicap International, MSF).


Le mouvement des sans-toit

En mars 2007, plusieurs milliers de familles venues des favelas occupent un terrain privé dans la banlieue de São Paulo pour revendiquer le droit à un logement digne.

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Organisés sous la bannière du MTST (Mouvement des travailleurs sans toit) les occupants érigent une véritable ville de plastique et de bambou : le campement João Cândido.

Au fil des jours, la vie du campement s’organise - avec la solidarité comme règle de base. Des groupes de cent à cent cinquante familles désignent coordinateurs et responsables de la discipline, des cuisines collectives sont mises en place et, entre deux réunions on trouve toujours le temps de jouer au football, de chanter et de faire la fête.

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Au MTST, on croit encore « qu’un autre monde est possible... »

Mais la menace d’expulsion plane sur le campement et, pour s’y opposer, les occupants multiplient marches et manifestations.

Voir l’exposition « des nouvelles des sans-toits »

Exploitation de la fibre de sisal

Le Nordeste brésilien produit la moitié de la fibre de sisal utilisée dans le monde - principalement à la confection de tapis et de revêtements de sol.

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Après la coupe, les feuilles d’agave sont passées à la machine à défibrer - en dix ans, les archaïques « moteurs à sisal » ont mutilé plus de 1500 travailleurs agricoles.

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La fibre est ensuite mise à sécher en plein air puis triée, cardée, brossée, compactée en ballots ou filée avant d’être exportée.

Voir en ligne : Philippe Revelli

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