Les images ont fait le tour du monde l’année dernière, des natifs Mashco-Piro, des indigènes isolés vivant dans la forêt amazonienne quittaient leur refuge luxuriant au cœur de la selva pour partir à la recherche de pécaris, des sangliers qui constituent leur principale source d’approvisionnement en viande, mais qui se font de plus en plus rares dans la forêt tropicale. En agissant de la sorte, la tribu, qui fait partie des 8 000 autochtones vivant isolés au Pérou, a brisé un mythe, celui d’hommes, de femmes et d’enfants vivant totalement coupés du monde et se cachant au plus profond d’un écrin verdoyant aussi majestueux qu’hostile tout en parvenant à vivre en auto-subsistance.
En fait, dans une étude publiée dans la revue américaine Science et financée par le Centre Pulitzer et par Cobertura Informativa de Crisis, mentionne que les derniers indigènes isolés dans le monde sortent des profondeurs de la forêt pour s’approcher de villages et de communautés, en particulier ceux qui se cachaient jusque-là à la frontière entre le Brésil et le Pérou.
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