Du Brésil, Henri Burin des Roziers ne rapporte pas qu’une image négative. S’amusant de ce que, il y a quelques décennies, personne ne considérait ce géant comme « un pays sérieux », il en souligne l’émergence sur la scène internationale et, évoquant les deux mandats du président Luiz Inácio Lula da Silva (1er janvier 2003 - 31 décembre 2010), il insiste sur la réduction – de trente millions à quinze millions de personnes – de l’extrême pauvreté : « On ne peut pas ne pas être en admiration devant ce qui a été fait. »
