Nous mangeons ce que les grandes entreprises agroalimentaires nous imposent

 | Par Enric Lllopis, Esther Vivas

Entretien avec Esther Vivas, membre du Centre d’études sur les mouvements sociaux de l’Universitat Pompeu Fabra de Barcelone. Activiste sociale pour la souveraineté alimentaire et militante du mouvement anti-mondialisation, elle nous alerte sur la prédominance du capital privé qui impose les goûts, marques et produits.

Source : Instituto Humanitas Unisinos – 06/03/2011 – Texte original

Traduction : Karine Lehmann & Jean Saint-Dizier pour Autres Brésils

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Vous êtes co-auteur du livre Del Campo al Plato (Ed. Icaria, 2009). Selon vous, ils nous empoisonnent ?

Le modèle de production d’aliments oppose les intérêts privés et ceux des entreprises aux besoins alimentaires des gens, leur santé et le respect de l’environnement. Nous mangeons ce que les grandes entreprises de ce secteur veulent. Il y a actuellement dans le monde le même nombre de personnes qui ont faim que de personnes ayant des problèmes de surpoids, ce qui touche, dans les deux cas, les secteurs les plus pauvres de la population, tant dans les pays du Nord que dans ceux du Sud. Les problèmes agricoles et alimentaires sont mondiaux et sont le résultat de la transformation des aliments en marchandise.

[...]

Lire l’entretien en entier :

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