Bien qu’ils ne soient plus qu’une poignée à être mobilisés, des manifestants restent actifs dans plusieurs villes du Brésil et pourraient gêner la tenue de certaines rencontres du Mondial. Explications dans un texte collectif publié le lendemain du match d’ouverture.
C’est par le coup de sifflet de la violence policière que vient de s’ouvrir la Coupe du monde au Brésil. Le ballon lancé, l’espace public est devenu le théâtre d’un match âprement disputé contre l’Etat, qui a fait entrer l’armée pour défendre l’ordre. Au-delà de São Paulo, où la Seleção [équipe du Brésil] jouait son premier match, les villes de Belém, Brasília, Belo Horizonte et Rio de Janeiro se sont parées de vert et de jaune et de manifestations de rue.
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