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Organisés sous la bannière du MTST (Mouvement des travailleurs sans toit) les occupants érigent une véritable ville de plastique et de bambou : le campement João Cândido.
Au fil des jours, la vie du campement s’organise - avec la solidarité comme règle de base. Des groupes de cent à cent cinquante familles désignent coordinateurs et responsables de la discipline, des cuisines collectives sont mises en place et, entre deux réunions on trouve toujours le temps de jouer au football, de chanter et de faire la fête.
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Au MTST, on croit encore « qu’un autre monde est possible... »
Mais la menace d’expulsion plane sur le campement et, pour s’y opposer, les occupants multiplient marches et manifestations.
Exposition photo en ligne de Philippe Revelli