La population y est favorable mais le gouvernement et la conférence des évêques s’y opposent, dénonçant le choix de la répression aux dépens de la prévention.
Cette controverse révèle les difficultés du Brésil à gérer une violence dévastatrice.
Le « Jour national de lutte contre la réduction de la majorité pénale », organisé il y a deux semaines dans plusieurs villes du Brésil, n’aura pas été la grande mobilisation espérée : à Rio, ils n’étaient qu’une petite vingtaine à s’être déplacés. Pourtant, le gouvernement, la Conférence nationale des évêques, de très nombreuses associations, des spécialistes, des ONG, l’Unesco, et des personnalités comme le chanteur populaire Chico Buarque, sont vents debout contre la mesure.
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