Olimpio Guajajara en est convaincu : le résultat de l’élection présidentielle brésilienne, dont le premier tour aura lieu le 2 octobre, sera déterminant pour l’avenir de l’Amazonie. Avec une centaine d’autres membres du peuple Guajajara (qui se sont appelés les « gardiens de l’Amazonie »), cet activiste autochtone patrouille depuis dix ans dans la région de l’Arariboia, dans le nord-est du pays, pour en déloger les bûcherons illégaux qui menacent la forêt tropicale et les Awa, un peuple non-contacté qui habite la zone.
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