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L’Association brésilienne des juristes pour la démocratie a déposé une plainte auprès de la Cour pénale internationale contre le Président de la République brésilienne,pour crimes contre l’humanité exposant la société brésilienne et notamment les populations les plus vulnérables au plus fort de la pandémie de covid-19.

En 2018, la campagne électorale la plus violente de l’histoire récente du Brésil s’est achevée par l’élection d’un candidat d’extrême droite. Après une première année d’exercice du pouvoir, les craintes initiales des défenseur·es des droits se sont largement confirmées

Les députées Aura Carolina et Taliria Petrone se mobilisent pour les territoires quilombola d’Alcântara. Nous publions le communiqué de plus de 140 organisations de la société civile brésilienne dénonçant l’expulsion des communauté quilombola et la violation de leur droits fondamentaux.

Le président du Brésil, Jair Bolsonaro, s’est exprimé Mardi 24/03 à la télévision pour demander aux gouverneurs de renoncer aux quarantaines et de cesser de fermer les commerces et les écoles dans les États.

Des États brésiliens et des pays dans le monde définissent des actions pour les personnes vivant dans la rue, sans toutefois décrire comment elles seront menées.

Les peuples auchtones s’alarment du manque de soutien du gouvernement du Brésil. Le démantèlement des institutions, les coupes budgétaires, l’absence de mesures préventives adaptées inquiètent alors que la nouvelle d’une première suspicion de Covid-19 parmi les Pataxós arrive.

#CoronaNasPeriferias tient les habitant·es des favelas informées sur la pandémie et les mesures de préventions tout en dénonçant le manque d’attention de la part des pouvoirs publics pour les réalités des territoires périphériques et des favelas du pays.

Pour celles et ceux qui ne peuvent pas se rendre à l’exposition « Claudia Andujar. La lutte Yanomami » à la Fondation Cartier à Paris, Les Inrocks déclinent trois regards sur l’exposition à travers la voix de ses acteurs clés : Claudia Andujar ; Thyago Nogueira et Davi Kopenawa.

Deux factions sont au gouvernement au Brésil : celle du poing américain et celle du gant de velours. Elles sont contre-nature voire « débiles ». Comment expliquer leurs actions ?

Avec une séance convoquée mardi 3 mars, le Congrès entame un bras de fer avec le président Jair Bolsonaro pour mettre la main sur plus de 30 milliards de R$ du budget national. Bien que sans accord officiel, Bolsonaro parie sur le Sénat pour l’emporter sur la Chambre des députés. Il compte même pour cela avec le soutien de l’opposition pour maintenir son veto à la loi d’orientation budgétaire (LDO), lequel empêcherait le Législatif d’avoir le dernier mot sur le devenir de ces fonds.