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Au Brésil, 57 ans après le coup d’Etat militaire qui a plongé le pays dans la dictature, le président d’extrême-droite Jair Bolsonaro a décidé de marquer le coup en remplaçant six ministres, dont le ministre de la défense. Réaction immédiate des commandants de l’armée qui claquent la porte. Dans la semaine, les différents médias se sont emparés de la question.

Entretien avec l’historien Franscisco Teixeira qui revient les derniers évènements entre le gouvernement Bolsonaro et le haut commandement des Forces armées au Brésil.

Non content de défier les pouvoirs démocratiques, le président du Brésil a mis la population brésilienne en danger et donné le pire des exemples en tant que chef d’État à l’heure de la pandémie du nouveau coronavirus.

Cette lettre à l’humanité envoyé par Leonard Boff Théologien de la libération est un document issu (...)

Plusieurs réformes qui atteignent les droits sociaux sont actuellement en train d’être adoptées à un rythme accéléré au sein du Congrès brésilien

Les anciens ministres de la Santé et la directrice du magazine Luiza discutent des initiatives (...)

Comment le président brésilien Bolsonaro savoure la macabre odeur de mort et ne s’est jamais (...)

Les élections municipales au Brésil ont révélé un renforcement de l’expression de la droite traditionnelle qui n’empêche pas le bolsonarisme et l’antipétisme de s’entériner.

Les erreurs diplomatiques de l’Itamaraty (Ministère des Relations extérieures) rendent le Brésil dépendant vis-à-vis des pays fournisseurs de vaccins comme la Chine et l’Inde

Palmas est la capitale avec le plus d’élu.e.s noir.e.s, tandis que Curitiba est la plus blanche. (...)