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L’initiative de Jean Wyllys (Psol – RJ) garantit aux femmes le droit d’interrompre leur grossesse jusqu’à 12 semaines.

La présidente brésilienne Dilma Rousseff a ratifié le 9 mars dernier la Loi sur le féminicide, créant ainsi une catégorie spécifique d’acte criminel. Pour le mouvement féministe, la loi est importante, mais d’autres politiques en faveur des femmes doivent être mises en place.

Trois femmes qui ne voulaient pas se soumettre à la césarienne racontent comment elles ont résisté à la culture de ce type d’opération au Brésil. Le gouvernement a pris des mesures pour tenter de limiter cette pratique.

Interview de Susanna Lira, réalisatrice du documentaire « Damas do samba », à l’occasion de l’ouverture du 7ème festival du film brésilien à Toronto. Film projeté par Autres Brésils, le 12/02/2015 au cinéma La Clef.

Une étude de l’IPEA montre que la population ne tolère pas la violence domestique, mais accepte que l’on dise que c’est la victime qui provoque l’agression.

Entre 2001 et 2011, une femme est morte de façon violente toutes les heures et demie au Brésil. Soit 5 664 morts par an, 472 par mois et 15 par jour. Et près de 40% des assassinats de femmes ont été commis par un partenaire intime.

Les données du document « Profil des Candidats aux Élections 2014. Sous-représentation de Noirs, d’Indigènes et de Femmes : un défi à la démocratie » reflètent le portrait d’une société pleine de préjugés, machiste et patriarcale.

Celles et ceux qui n’ont pas le courage de prendre position en défense de la vie des femmes ne peuvent prétendre gouverner pour tous.

Projection de deux films autour du MST dans le cadre de la journée des femmes : Uma visita para Elisabeth Teixeira et La lutte n’est pas pour tous - Jeudi 7 Mars à 20h30

La déclaration de Marinho Pinto ravive la polémique sur l’image de la femme brésilienne dans le monde. Global Voices