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La centrale syndicale brésilienne CUT lance ce 8 mars une campagne permanente contre les inégalités salariales entre hommes et femmes. Un point sur ces questions d’inégalité, sur l’impact de la crise sur les travailleuses, et sur la violence contre les femmes au Brésil. ITUC CSI

Le 4 mars, environ 900 femmes de la Via Campesina Rio Grande do Sil, ont occupé les 2100 hectares de la Fazenda Tarumã à Rosario do Sul. La police a violemment chargé et en a blessé gravement au moins 50.

Le vendredi 7 mars, quelque 300 paysannes brésiliennes ont pris d’assaut une plantation du groupe américain Monsanto au Brésil, en détruisant du maïs OGM. 

Au Nord du Brésil, en bordure de la forêt amazonienne, la survie de
centaines de milliers de femmes et de leurs familles est menacée par de
grands exploitants qui entravent leur accès à la ressource naturelle
qu’elles utilisent depuis plusieurs générations. Campagne de soutien jusqu’au 28 février !

Un reportage primé au Brésil. L’aventure hebdomadaire des femmes de criminels pour deux heures d’intimité en prison. « Un vendredi d’octobre, 7 heures du soir. Elles arrivent lentement, chargées de valises et de sacs. »

Le mur vert, rendant bien visible la plaque avec des mots mystérieux, garde dans la capitale du Maranhão une partie de l’histoire des religions africaines au Brésil. Dona Deni est notre guide pour découvrir le Vodum.

Contrairement à l’image diffusée pour les touristes, le Brésil est très loin d’un pays « multicouleurs » sans fortes discriminations et oppressions. Nous publions ici, le Manifeste adopté lors la première Réunion des femmes et hommes noirs de Conlutas.

Lors de la Journée Internationale de Lutte pour la Santé de la Femme , des organisations féministes lancent le comité contre la criminalisation de l’avortement et défendent la légalisation de cette pratique.

« Nous luttons surtout pour assurer la récupération et la préservation de la diversité biologique, des forêts, des plantes médicinales, des semences indigènes, de l’eau et de la terre, qui sont le patrimoine des peuples au service de l’humanité »

Dans la majorité des cas, aussi bien de mort que de lésion corporelle, les agresseurs avaient une forme de relation amoureuse avec les victimes, ils étaient leurs maris, compagnons, petits amis, amants ou parents proches, comme le père, l’oncle et le frère.