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Celso Athayde, célèbre entrepreneur social brésilien et fondateur de la Centrale Unique des Favelas s’est lancé dans une mission : apprendre aux "marques" la langue des cités afin de les aider à s’engager auprès de ces consommateurs négligés par le “marché”.

Hommage à Marielle Franco organisées par l’association Autres Brésils et la Mairie de Paris. Projection d’un extrait du film documentaire : Sementes Femmes Noires au pouvoir.

L’activiste culturelle est arrivée dans la zone la plus au sud de São Paulo en 1975. Elle a créé son propre projet social et promeut des activités culturelles depuis 30 ans.

Dans les périphéries, la Coupe du monde masculine de football FIFA 2022 rassemble le voisinage autour de l’espoir d’un sixième titre de la Seleção. Démocratique et inclusif pour les supporters de l’équipe nationale, le football réveille la mémoire affective des habitants des périphéries.

Au Brésil, Ana voterait PT, mais le coût du transport pour y aller était trop élevé pour son budget. Portrait du plus grand collège électoral du Brésil. Un reportage signé Sumaúma

Rap / Slam Brésil : Batalha da Zil et Batalha da Aldeia parient sur la pluralité et l’expansion des événements visant à consolider l’identité du rap dans les périphéries urbaines.

« La violence et la sécurité, qui sont des questions extrêmement importantes et qui devraient être fondées sur les principes des droits humains, sont utilisées comme une monnaie d’échange politique dans une campagne purement électorale ».

Le gouverneur de Rio a ordonné aux forces de sécurité d’investir les quartiers populaires. Ce qui est déjà comparé aux UPP de 2009-2015, soulève de nombreuses inquiètudes pour les droits humains.

Admirateur de Paulo Freire et de Sérgio Vaz, André Gomes souhaite que davantage de jeunes aient accès à l’éducation et à la littérature. L’école Lumiart offre des cours préparatoires à l’entrée à l’université et une bibliothèque accessible aux jeunes de la région.

Le 10 décembre 2021, un mémorial a été inauguré dans la ville de Santos, littoral de São Paulo, en hommage aux jeunes assassinés en 2006 lors des massacres plus connus sous le nom de « crimes de mai ». Ce mémorial est le résultat de 15 ans de lutte et de résistance de mères et des familles des victimes de la violence de l’État brésilien, notamment du mouvement Mères de Mai.