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Le 4 mars, environ 900 femmes de la Via Campesina Rio Grande do Sil, ont occupé les 2100 hectares de la Fazenda Tarumã à Rosario do Sul. La police a violemment chargé et en a blessé gravement au moins 50.

Le vendredi 7 mars, quelque 300 paysannes brésiliennes ont pris d’assaut une plantation du groupe américain Monsanto au Brésil, en détruisant du maïs OGM. 

La Commission nationale de Biotechnologie du Brésil a approuvé mardi 12 février la culture et la vente dans le pays de deux variétés de maïs transgénique : le MON 810, de la firme américaine Monsanto,
et le Liberty Link, du groupe allemand Bayer.

« Ma critique de la grève de la fin de Dom Luiz a offensé les lecteurs. J’avais senti depuis un certain temps que bon nombre d’entre eux n’appréciaient pas le ton ironique ou encore la critique que je faisais du mouvement écologiste. »

Un appel public à rejeter l’actuel projet du gouvernement fédéral de détournement du fleuve São Francisco. « Ce projet est pharaonique. Il n’est pas non plus démocratique. »

Un projet polémique du gouvernement brésilien divise la population du Nordeste. Il s’agit de détourner une partie du Rio São Francisco pour “redistribuer” l’eau. Mais qui en seront les bénéficiaires ? Présentation du contexte.

Le captage d’à peine 1/3 des réserves d’eau des fleuves du Nordeste suffirait à approvisionner les 47 millions de Nordestins, selon les normes stipulées par des organismes mondiaux.

« Nous avons 80 millions d’hectares de terre en Amazonie qui vont nous transformer en Arabie Saoudite du biodiesel », a dit Expedito Parente, un ingénieur chimiste brésilien ayant obtenu le premier brevet pour la fabrication de biodiesel à échelle industrielle.

Si Monseigneur Cappio venait à mourir, ce ne sera pas seulement la mort de Monseigneur Cappio. Mais également la mort de l’appartenance politique de Lula et du Parti des Travailleurs à l’histoire des mouvements sociaux au Brésil.

La fièvre des agrocarburants qui s’empare du Brésil a des répercussions inquiétantes sur la concentration des terres et la souveraineté alimentaire. « Pour nous, c’est clair, affirme José Cláudio da Silva, responsable du secteur Environnement du MST. Avec les agrocarburants, nous nous trouvons face à un véritable processus de recolonisation ».