Personnalités du théâtre, du cinéma, de la musique, figures de premier ou de second plan s’expriment sur les réseaux sociaux ou par vidéos interposées, en raison d’une probable destitution (impeachment) d’une présidente qui n’a aucune inculpation de corruption sur le dos.
Wagner Moura du cinéma, Caetano Veloso de la musique et tant d’autres s’insurgent contre ce qu’ils nomment « um golpe » un coup d’État. « Le Brésil est dans une mauvaise passe » dit l’un d’eux. Car concrètement, Dilma Roussef, présidente de la République, n’a rien à se reprocher personnellement en matière de corruption. Si ce n’est d’avoir offert un poste au gouvernement à Lula qui tenterait ainsi de se soustraire à la justice. Les reproches sont surtout d’ordre économique.
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