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Du 18 au 23 novembre, les arts vont s’emparer du quartier de la Quebrada situé dans la zone sud de São Paulo. La première Mostra culturelle va réunir des guerriers et des guerrières fortement armés de stylos, carnets et livres.

Artiste créatif et productif, et surtout vivant, provocateur, en perpétuel mouvement, il n’a pas seulement transformé la musique du Brésil : il a continué à l’influencer pendant quatre décennies.

Du 10 au 14 octobre 2008. Conférences, concerts, films, lectures dramatiques, photos. Les spécialistes de la littérature s’accordent à considérer Machado de Assis comme le plus grand écrivain brésilien et un des grands romanciers en langue portugaise.

Il joue de la guitare classique depuis qu’il est enfant mais c’est la rabeca, sorte de grand-père du violon, qui l’a consacré et lui a montré sa vocation de « joueur ». Entretien avec Antônio Nóbrega.

Oscar Niemeyer. Né le 15 décembre 1907, l’architecte brésilien ne renonce ni à ses projets ni à ses idéaux communistes. Pour lui, « la vie n’est qu’une minute ». La sienne dure depuis déjà cent ans. LIBERATION

Un nombre croissant d’auteurs manifestent un intérêt pour l’histoire et la culture afro-brésilienne. Cette tendance a été à l’origine du 1er Salon du livre afro-brésilien pour enfants qui s’est réalisé en novembre 2007 à Rio de Janeiro.

A Latinoamericana – Encyclopédie contemporaine de l’Amérique latine et des Caraïbes – a été élue meilleure œuvre de non-fiction publiée au Brésil en 2006, après avoir reçu le Prix Jabuti de Meilleur livre de sciences humaines.

75 éditeurs indépendants de plus de 45 pays regroupant au total plus de 380 maisons d’édition se sont réunis à Paris du 1er au 4 juillet 2007 en Assises internationales de l’édition indépendante.

Le Brésil s’apprête à ratifier la Convention de Protection et de Promotion des Expressions et des Diversités Culturelles de l’Unesco. Les USA, qui en financent 20% du budget, proposent toujours un libre échange culturel.

Une menace pèse sur l’univers du livre : la menace de l’obscurantisme. La mondialisation économique et financière accroît l’inégalité entre les riches et les pauvres et les livres n’échappent pas à cette logique.