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A Latinoamericana – Encyclopédie contemporaine de l’Amérique latine et des Caraïbes – a été élue meilleure œuvre de non-fiction publiée au Brésil en 2006, après avoir reçu le Prix Jabuti de Meilleur livre de sciences humaines.

75 éditeurs indépendants de plus de 45 pays regroupant au total plus de 380 maisons d’édition se sont réunis à Paris du 1er au 4 juillet 2007 en Assises internationales de l’édition indépendante.

Le Brésil s’apprête à ratifier la Convention de Protection et de Promotion des Expressions et des Diversités Culturelles de l’Unesco. Les USA, qui en financent 20% du budget, proposent toujours un libre échange culturel.

Une menace pèse sur l’univers du livre : la menace de l’obscurantisme. La mondialisation économique et financière accroît l’inégalité entre les riches et les pauvres et les livres n’échappent pas à cette logique.

La synergie entre les actions du Théâtre de l’Opprimé et les Points de Culture, la préoccupation pour le patrimoine de l’humanité qui se détériore au Brésil, le bilan du ministère de Gilberto Gil et les perspectives du second mandat de Lula...

La nuit tombe sur Rio lorsque les deux cars remplis de spectateurs pénètrent dans l’enceinte bien gardée du port de la ville, célèbre pour ses plages de Copacabana et son carnaval. Mais nous sommes loin de ces joliesses lorsque la barge sur laquelle ont pris place les spectateurs quitte le rivage et s’enfonce dans les eaux grises et puantes de la baie de Guanabara. RUE89

Aujourd’hui, ils sont peu nombreux les artistes et intellectuels brésiliens qui traitent le football comme un thème à ignorer. C’est devenu une simple affaire de goût. Citations.

Portrait de jeunes des quartiers périphériques de la ville de Rio de Janeiro.
Privés d’espaces d’expression, ils s’investissent dans le hip-hop, leur propre et leur seule opportunité d’accéder à la culture et au loisir.

Dialogue avec quatre artistes consacrés du rap brésilien (X, Jamaika, Marquim et Japão), tous natifs de Ceilândia, banlieue de Brasília, capitale du pays.

« La capoeira, en soi, est déjà de l’éducation. Elle transforme l’individu, elle forme des citoyens avec des opinions différentes. C’est de cela que le Brésil a besoin et dont le monde a besoin. De personnes qui pensent. C’est le rôle de la capoeira, je crois en cela. » Interview de René Bittencourt, maître de capoeira angola à Salvador de Bahia.