L’ancien maire de São Paulo, Fernando Haddad (Parti des Travailleurs), candidat malheureux face à Bolsonaro en 2018, a écrit que le président du Brésil mettait en jeu plus que son mandat, la vie de milliers de personnes. « Quelle que soit l’issue, cela coûtera cher au pays ».
Parmi les gouverneurs, Wilson Witzel (Rio de Janeiro), Flávio Dino (Maranhão), Renato Casagrande (Espírito Santo) et Helder Barbalho (Pará) ont répudié cette campagne de désinformation de Jair Bolsonaro.
Dino a également annoncé qu’il maintiendra les mesures préventives contre le nouveau coronavirus dans l’État du Maranhão, contrairement à la demande présidentielle de mettre fin à la quarantaine. « C’est respecter la vie du peuple du Maranhão », a-t-il dit.
Parmi les député·es, le ton était aussi aux critiques. Outre l’opposition, comme Marcelo Freixo, les répercussions négatives ne ce sont pas fait attendre parmi les anciens allié·es de Jair Bolsonaro, le cas d’Alexandre Frota, Joice Hasselmann et Kim Kataguiri.
Entre les Sénateurs et sénatrices, le président du Sénat Davi Alcolumbre a demandé à ce qu’il y ait un leadership sérieux pour le pays qui traverse un moment grave. D’autres sénateurs ont également pris la parole, parmi lesquels Anastasia et Angelo Coronel