Élèves forcés, par leur professeur, de scander le nom de candidats politiques dans une école. Fonctionnaires licenciés pour manque d’engagement dans la campagne électorale de leurs supérieurs. Toitures en zinc échangées contre des voix. Vente publique à grande échelle de données personnelles des électeurs aux militants. Menaces de mort à ceux qui dénoncent des violations du code électoral. Bienvenue dans le côté obscur des élections brésilienne.