Avortements clandestins au Brésil : une femme meurt tous les deux jours

 | Par Journal des Femmes

Au Brésil, un arrêté du ministère de la santé visant à faciliter l’accès à l’avortement légal a été promulgué puis révoqué au bout d’une semaine. Cette mesure constituait une avancée considérable pour les femmes, dans ce pays où ce droit à disposer de son corps reste tabou.

Sept jours. C’est la durée d’application d’un arrêté promulgué par le ministère de la Santé au Brésil, ayant pour objectif de faciliter l’accès à l’avortement légal. Promulgué le 21 mai dernier, celui-ci stipulait que tous les hôpitaux publics brésiliens composés d’un service de gynécologie devaient pouvoir proposer une interruption de grossesses aux femmes qui le souhaitent et qui répondent aux conditions très strictes de l’avortement légal au Brésil. Il s’agissait de mettre en place un meilleur contrôle et une certaine réglementation de l’accueil des femmes concernées et de donner des moyens financiers et humains, nécessaires au bon déroulement de ces avortements.

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