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Long format _ Sumaúma. En Amazonie, le renouvellement (ou pas) de la licence d’exploitation de Belo Monte, l’usine hydroélectrique qui a provoqué une crise humanitaire et environnementale dans l’une des régions les plus bio-diverses de la plus grande forêt tropicale de la planète, déterminera l’héritage du PT et le destin de la rivière Xingu.

Reportage spécial pour Amazônia Real montre que pour l’orpaillage comme la lutte contre ce système extractivist repose sur la participation des communautés riveraines. Des organisations et des leaders locaux sont déjà engagés en faveur des forêts et des rivières.

Reportage : Agents du gouvernement et leaders yanomami affirment que maladies et décès se poursuivent et que des zones entières continuent otages de l’orpaillage.

Dans ce reportage spécial ’Microbourse Reportères autochtones´en 2 parties, la reporter montre l’impact de l’installation des usines électriques sur les communautés riveraines où vivent les familles de son peuple, les Mura.

En 2022, les incendies ont détruit une superficie équivalente à l’État de l’Acre ; une augmentation de 93% en ce qui concerne les forêts.

Dans une interview à Outra Saúde, une ancienne biologiste auprès de la FUNAI et du ministère de l’Environnement témoigne du travail de sape qui a préparé la tragédie Yanomami au sein des institutions.

Célia Xakriabá a reçu l’équipe SUMAÚMA le 3 janvier au Ministère des Peuples Autochtones pour une interview exclusive.

Le président Luiz Inácio Lula da Silva s’est rendu samedi matin à Roraima pour évaluer la situation sanitaire en Terre autochtone Yanomami. Il déclare la crise humanitaire.

Les données obtenues en exclusivité par SUMAÚMA montrent que entre 2019-2022 le nombre de décès d’enfants de moins de 5 ans dus à des causes évitables a augmenté de 29% en territoire Yanomami.

Même si le coup d’État n’a pas abouti, une fois de plus, les extrémistes de droite ont réussi à retarder des actions et des débats urgents pour le Brésil. La situation en Amazonie empire chaque jour. Dans son allocution, Lula a suggéré que les destructeurs de la forêt sont impliqués dans les actes du coup d’État du 8 janvier.