Les ONG de défense des droits de l’homme présentes lors du jugement du colonel et député Ubiratan Guimarães, principal responsable du « massacre de Carandiru » ont vivement protesté contre son acquittement prononcé par le Tribunal de Justice de l’Etat de São Paulo.
Le 2 octobre 1992, 111 détenus ont été retrouvés morts, la plupart avaient été abattus dans leurs cellules.
Pour les ONG, il s’agit d’une nouvelle stratégie pour garantir l’impunité des crimes commis par la police.
février 2006