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Morro do Bambu à Niteroi, Agência Brasil
Depuis le début de la semaine, mon téléphone ne cesse de sonner, ma boîte à emails est encombrée : ce sont des parents et amis en quête de rassurance, de Paris, Rabat, Buenos Aires, Caracas ou Santiago : « On vient de voir les images des pluies à Rio de Janeiro ; tu vas bien ? ». Je vais bien oui. Ce que les images diffusées en quelques secondes sur les écrans du monde entier omettent, c’est qu’il y a deux Rio de Janeiro : celui des riches, et de la classe moyenne, et celui des pauvres.
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Samba !